Prendre part à l’essor du BMX
Non classéVélo et X-treme 15 août 2017 admin 0
Amateur de sport extrême ? Le BMX connaît un engouement sans pareil qu’il a réussi à intégrer les programmes des Jeux olympiques depuis 2008. Qu’est ce qu’il faut savoir pour s’y mettre et marcher sur les pas de nos Champions en bicycle motocross ?
Bien s’équiper en BMX
Si le BMX a été inspiré par une envie de faire du motocross sans avoir le véhicule motorisé adéquat, il est, de nos jours, devenu une discipline à part entière. Ce qui singularise le BMX, ce sont la taille de la bicyclette et le diamètre de ses roues. Pour les plus jeunes riders et ceux qui penchent pour le Freestyle, la plus petite dimension qui est de 20″x1″3/8 est préconisée. À partir de 12ans, les bicrosseurs peuvent opter soit pour la 20″x1″75 pour la Race pro, soit pour un vélo avec des roues à 24 pouces et un cadre plus grand pour la catégorie Cruiser. Pour des raisons de sécurité, ce qui peut paraître utopique, le port d’équipements – tels que le casque intégral, le gant et les protections diverses, des baskets avec semelles crantées, un maillot à manches longues et un pantalon – est obligatoire pour la pratique de ce sport extrême. Les mitaines et les shorts sont proscrits.
De la Race au freestyle dans le BMX
Sur les pistes d’entrainements comme aux championnats, le BMX se divise principalement en deux catégories. La Race, initiée par des pilotes de motos, est une course sur mesure sur une piste de 350 à 400 mètres. Tout le parcours est tapissé d’obstacles sous forme de bosses, de bosses doubles, de tables, ainsi que de virages élevés. Le jeu consiste donc à franchir ces lignes en un temps record. Le Freestyle en BMX invite les bmxeurs à effectuer différentes figures, comme le Flat, le Dirty, le Street ou le Vert’, pour démontrer leurs talents en vélo et impressionner jury et spectateurs.
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